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Sujet: Ckyvi Francle Lun 16 Aoû - 20:15
Virineïa Stedinskaïa Sixième Année
x Иσм & Pяéиσм : Virineïa Stedinskaïa
x Дgε & Ðαтε כε Иαissαи¢ε : Seize printemps, 18 Mai 1993 [Ce n'est pas sa date de naissance mais la date à laquelle Vassilissa l’a recueillie, alors qu’elle avait déjà trois ans]
x Sαиġ : Mêlé
x Ċłαи : Peuple, Rebelle
x Øяiġiиε : Classe Moyenne
x Ŧεмρéяαмεит : Qui aime bien, châtie bien. On le lui a tellement répété qu’elle a finit par comprendre. Et maintenant elle passe tout son temps à embêter ceux qu’elle aime. Affectueusement bien sûr. Elle les taquine à longueur de journée. Mais en même temps, elle est entièrement dévouée à ses proches et serait prête à faire n'importe quoi pour eux. Cependant, elle peut aussi se montrer très rancunière, et si quelque chose ne lui convient pas, elle le fera savoir. On se plaint trop souvent que les gens n'arrivent pas à dire en face ce qu'ils pensent, et bien on reprochera à Virinéïa de ne pas savoir tenir sa langue en certaines circonstances. Mais au moins elle est très franche. Elle déteste par dessus tout être couvée et aime se sentir libre et indépendante ce qui en fait une femme très sûre d'elle. Elle n'en fait qu'à sa tête, et quand elle à une idée, elle la tient jusqu'au bout. Rare sont les gens qui peuvent l'en dissuader. Et bien souvent, ce sont les choses les plus folles qui lui passe par la tête, comme grimper sur le toit de l'école, faire une escapade aux cuisines, ne pas respecter le couvre feu et dépasser les bornes des limites. Elle adore jouer avec le feu. C'est une vrai tête brûlée. Mais cela peut aussi avoir ses avantages. Elle s'intéresse aux milles et une choses de la vie, même ce qui ne la concerne en rien... Ce qui est beaucoup plus gênant. C'est à la foie une grande qualité mais aussi un petit défaut. Elle va où le vent veut bien l'emporter, au grès de ses humeurs et de ses envies. Aucune contrainte à par celle de profiter pleinement de la vie.
x Ðεs¢яiρтiσи Pнysiqμε : La ressemblance avec sa mère adoptive est frappante, tant et si bien qu’il ne vient même pas à l’esprit des gens de poser des questions sur son passé. Ses cheveux bouclés encadrent son visage ovale qui s’empourpre facilement, de colère ou de contentement. Ses yeux pétillent de malice, et de vivacité. Son corps svelte et gracieux témoigne de son énergie et de son engouement pour le sport, et câche plutôt bien les tablettes de chocolats qu’elle mange à toute heure de la journée. Elle aime les jolis vêtements alliant simplicité et élégance, et l’unique bijoux qu’elle portera sera une fine chaînette en argent avec un petit diamant en pendentif. Elle ne l’enlève pour ainsi dire jamais. C’est le cadeau que lui a offert sa mère pour son entrée à Beauxbâtons, et il est absolument hors de question de s’en séparer. C’est la seule chose qui la rapproche de sa mère lorsqu’elle est loin d’elle. Quand elle est stressée pour un examen, ou qu’elle doit se concentrer pour étudier, elle porte instinctivement le collier à sa ses lèvres et fait glisser la chaîne entre ses dents. Elle est toujours souriante et vit à 200%, pour le moment présent. Si elle regarde dans le vague ou semble déphasée, c’est qu’elle est vraiment malade, ou que quelque chose ne va très bien. Dans ces moments là, seuls ses amis les plus proches savent lui redonner le sourire, sans chercher à savoir ce qui la tracassait. De plus, de part son éducation, elle arbore un maintient exemplaire et sait tenir une conversation enrichie. Les bonnes manières sont de coutumes…
x Ŧαiłłε & Pσiכs : 1m68 pour 51 kg
x Siġиεs Pαятi¢μłiεяs : ///
x Дvαтαя : Dianna Agron
x Fαмiłłε & Łiεиs : Vassilissa Stedinskaïa, mère adoptive, chef des médicomages urgentistes Asya Kaganovna, mère biologique, cracmolle Lavr Kaganovitch, père biologique, moldu
x Ðiεμ : Sæming
x Ċσכεs :
Philippine de la Plume Maître des Lieux
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Sujet: Re: Ckyvi Francle Lun 16 Aoû - 20:15
x Hisтσiяε : Virineïa se réveilla en sursaut. Elle faisait toujours le même cauchemar. Une fois levée, elle ne se rappelait de rien, sa mémoire refoulant tous ces souvenir accumulées dans son enfance. Seul un sentiment de malaise persistait. La vérité ? C’était que Vassilissa n’était pas sa véritable mère. Mais Virineïa ne se doutait pas un seul instant de ses véritables origines. Elle n’avait que deux ans, la première fois que son « don » pour la magie se manifesta. Personne ne l’avait prévu, encore moins ses parents… La petite fille jouait tranquillement au parc, sous le regard attentif de sa maman. Vive et énergique, elle courait et sautait partout. Elle ne manquait jamais de tomber et de se blesser, mais l’habitude ayant pris le pas sur la douleur elle ne craignait plus rien. C’est un trait de caractère qu’elle avait conservé. Son nouveau jeu consistait à courir après les papillons, ces magnifiques petits êtres très présents en ces beaux premiers jours de printemps. Elle ne pouvait détacher ses petits yeux noisettes perçant des couleurs vives et enjoués qui recouvraient leur ailes. Alors les deux mains tendu, elle essayait en vain d’en attraper un. Mais comme tout le monde le sais bien, les petits bouts de cet âge là étaient fort loin d’être patients et après une chasse peu fructueuse, elle se demandait si il n’y avait pas un moyen plus rapide pour approcher un papillon. Si elle n’arrivait pas à aller vers le papillon, c’est lui qui viendrait à elle. Et sous les yeux ébahis de la seule personne attentive à ses moindres faits et gestes, le pauvre petit volatile, malgré ses battements d’ailes incessants, ne parvint pas à se détourner de l’attraction inébranlable l’attirant inévitablement vers Virineïa, toute joyeuse maintenant. Pour cette cracmolle ayant trouvée une vie sereine et normale auprès des moldus, ne voulant plus aucun lien avec ce qui pourrait la rattacher au monde des sorciers, apprendre que sa fille avait hérité des « facultés spéciales » de sa famille était une véritable abomination. La seule chose qu’elle réussie alors à faire avait été de prendre vigoureusement sa fille par la main et de la ramener à la maison, loin des regards indiscrets. La cacher. Lorsque son mari rentra à la maison, elle pleurait, lui demandait pardon, lui demanda conseil. Il était au courant de son passé, mais maintenant ce problème faisait parti du présent. Alors après quelques semaines de cris, de larmes et d’incertitudes, il fut décidé que la douce enfant serait rendu à ses origines. Elle fut tout simplement abandonnée non loin d'un orphelinat moldu, qui la recueillie avec une gentillesse apparente. Il ne fallut pas longtemps à cette petite poupée blonde pour être adoptée. Qui aurait cru qu'une sorcière passerait par là? Vassilissa en fut tout autant surprise lorsqu'elle découvrit les aptitudes magiques de sa fille.
Le soleil tombait à l’horizon, éclairant les vastes glaces des douces couleurs du crépuscule. Lorsque Virineïa souhaitait se retrouver seule, elle aimait venir s’allonger non loin de la patinoire. La plupart du temps, elle s’assoupissait dans l’herbe et se réveillait à la tombée de la nuit, à nouveau remplie de son énergie habituelle. Il était l’heure de rentrer, le dîner allait bientôt être servi dans la grande salle de Durmstrang. Elle se leva et ramassa à la hâte ses affaires éparpillées sur le sol. Elle avait essayé de réviser un tant sois peu ses cours qui commençaient déjà à s’accumuler, malgré que la rentré ne venait que de commencer. Son gousset clignotait. Elle avait reçut un message de sa mère. Vassilissa l’avait recueillie lorsqu’elle avait été abandonnée. Elle l’avait adoptée puis élevée comme sa propre fille. Virineïa ne connaissait qu’elle, et ne voulait rien savoir de sa véritable famille. C’était sa mère avant toute autre chose. Elles entretenaient une relation jalousée par tous. Elles n’avaient aucun secret l’une pour l’autre, aucun sujet n’était tabou et elles discutaient de tout et de n’importe quoi. Virineïa s’inquiétait autant au sujet de sa mère que Vassilissa s’inquiétait pour sa fille. Virineïa adorait et admirait sa mère. Cette femme indépendante qui s’en était sortie sans l’aide de personne et avait réussie une carrière remarquable. Elle souhaitait poursuivre le même parcours qu’elle. Elle déplorait la fin des vacances merveilleuses passées en sa compagnie. Elles étaient parties en France, pour faire plaisir à Virineïa, curieuse de mille choses et avide de nouvelles expériences. Vacances trop courtes à son grand malheur.
Grâce aux relations qu’entretenaient Vassilissa, elle avait rencontré beaucoup de beau monde et avait su se faire une opinion propre au sujet des réformistes et des conservateurs, pourtant pas si différente de celle de sa mère. Cependant elle n’était pas si engagée que sa mère. Elle ne comprenait pas les boïards mais ne les détestaient pas. Un vrai mystère en somme…C’est un sujet qu’elles évoquaient assez couramment dans leurs discussions depuis que Virineïa avait atteint l’âge de raison. Petite, elle n’attachait d’importance qu’à la danse, qui réussissait à la canaliser un petit peu. Le monde des ballerines composé de grâce et d’élégance lui convenait parfaitement, et c’était un sport qui avait le mérite de l’intéresser. Au plus loin qu’elle se souvienne, sa passion avait débuté lorsque sa maman avait été invitée à un ballet, et elle avait emmenée sa fille avec elle, ne pouvant se résoudre à la laisser seule. La petite ne devait avoir que quatre ou cinq ans, mais elle avait été fascinée par la volupté qui se dégageait de la scène. Sa mère trop heureuse devant l’enthousiasme de sa fille ne se fit pas prier pour l’inscrire à des cours de danse classique. Parfois même elle venait y assister de temps à autres, quand le temps le lui permettait. Et oui être chef du centre de Médicomagique n’était pas de tout repos.
Et voilà qu’elle venait d’entamer sa sixième année à Durmstrang. Ce n’était pas une élève exemplaire, préférant mille fois prendre l’air plutôt que de s’enfermer pour étudier. Mais elle faisait en sorte d’être largement au dessus de la moyenne quand même, pour ne pas décevoir les attentes de sa mère. Et puis elle est plutôt intelligente, ce qui aide en sois. Son caractère assez explosif lui a permis de s’intégrer facilement, mais aussi de se faire quelques ennemis. Elle n’a pas pour habitude de tourner autour du pot. Elle rentre très vivement dans le vif du sujet et ne mâche pas ses mots, pour n’importe quoi. Ce qui fait qu’elle s’énerve aussi facilement qu’elle peut être joyeuse. Elle est aussi très curieuse et se mêle de tout, allant parfois jusqu’à s’empêtrer dans des histoires qui la dépassent complètement ! Alors ce caractère assez fort dérange certaines personnes, mais force l’admiration pour d’autres. Évidemment il lui arrive de fatiguer, et quand c’est le cas, le monde se demande si elle n’est pas simplement malade… Alors elle vient se reposer un moment dans ce lieu magique qu’elle a dégoté et se remet d’aplomb rapidement.
Elle longea les glaces d'Ægir, le stade SÆming jusqu'à atteindre enfin la grande d'entrée. Magnifique et imposante. L'endroit en lui même était inoubliable. Bourré de contraintes et de règle idiotes, et de gens tout aussi stupides, certes, mais elle vivait entre ses murs ses meilleures années. Elle avait à la fois hâte d'en finir et très envie d'y rester le plus longtemps possible. Elle descendit les escaliers d'un pas préssé jusqu'au premier sous sol où se trouvait la salle Njörd, où les élève prenaient leur repas. Ne rien faire creusait, et elle entama avec appétit les mets délicieux qui se trouvaient à sa disposition, en agréable compagnie de ses amis.
x Ðσи : Télékinésie | Inné
x Ðεs¢яiρтiσи Ðéтαiłłéε : La télékinésie consiste à déplacer des objets par la pensée, a exercer une attraction comme celle qui permet à un aimant d'attirer un objet en fer ou même à la Terre de nous garder collé à elle. x Ðé¢σμvεятε & Дρρrεитissαġε : Vers l’âge de quatre ans, Vassilissa avait remarqué que Virineïa possédait un don, propre à elle. On appelait ça la Télékinésie. Elle le devait probablement à ses origines. Mais la manifestation de ce nouveau caractère avait été des plus drôle. Comme elle en avait assez d’être petite. Ou plutôt pourquoi ces meubles étaient-ils si grands et les objets rangés si haut. Elle convoitait son grand livre d’image, offert par un ami à sa maman le jour de son anniversaire. Elle tendait la main, en vain sans réussir à ne serait ce que le toucher. Mais voilà que le livre vacilla sur l’étagère et réussie à sortir, pour finalement atterrir sur la tête de la jeune fille, qui commença a pleurer. Pas douleur, mais de surprise ! Vassilissa s'en amusa beaucoup. C’est elle qui l’aida à le maîtriser au fur et à mesure jusqu’à ce que la jeune fille soit en âge de s’exercer seule. x Дvαитαġεs : C’est assez explicite. Virineïa y trouve parfaitement son compte. Tout semble à sa portée, elle peut même, en se concentrant un peu plus évidemment, faire plusieurs choses en même temps ce qui est très pratique. Plus besoin de se déranger, les choses viennent à elle. x Iи¢σиvéиiεитs : C’est assez épuisant psychiquement, et parfois incontrôlable… Par des émotions trop fortes, un moment de colère ou même événement heureux, on ne sait ce qui peut réellement advenir… Mais je ne citerais pas d'exemple de peur de mettre notre petite Virineïa dans l'embarra. Juste un conseil: mieux vaut il pour vous de ne pas vous retrouver en sa présence dans ces moments là... x Mσтivαтiσиs : C'est un lien avec sa famille biologique pour mon personnage. Et plus personnellement, j'ai toujours été attirée par les pouvoirs psychique, alors cela m'enchanterait d'essayer de le mettre en application...
Philippine de la Plume Maître des Lieux
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« Virineia est ma fille. Ma fille unique. Pas mon sang, non, car je ne l'ai pas mise au monde et elle le sait très bien mais je l'ai adoptée alors qu'elle était encore jeune et je m'efforce de lui donner ce dont elle a besoin pour avancer dans l'existence. C'est une fille parfaite. Et je ne dis pas cela parce que je suis sa mère. Elle est magnifique, sûre d'elle, elle sait ce qu'elle veut et où elle va et elle m'étonne tous les jours. Fière ? Bien sûr que je le suis ! Qui ne le serait pas ? Quoi qu'il en soit, j'espère qu'elle sait que je serais toujours là pour elle, quoi qu'il arrive. »
connaissances
LE HASARD FAIT BIEN LES CHOSES
Kirill Khan •• « un père »
« J'ai "rencontré" Kirill alors qu'il venait visiter sa femme qui allait accoucher. Je ne la connaissais pas, elle n'était pas dans mon service mais lui n'a pu s'empêcher d'y faire un détour. A l'époque, je n'étais encore qu'une simple médicomage mais j'avoue qu'il m'a bien fait rire. Le stress d'un homme qui va devenir père... C'est une chose à voir en fait et celui-ci avait réussi à se casser le nez en glissant. Trop pressé... Enfin, il a tout de même pu assister à l'arrivée de son fils qui se trouve aujourd'hui à Durmstrang, avec Virinea. Je n'ai de contact avec lui que celui d'un médicomage à son patient mais savoir ma fille entre de bonnes mains à Durmstrang n'est pas négligeable. »
Lileia Khan •• « une mère »
« Si je ne me suis pas occupée de Lileia lors de son accouchement, je me suis occupée de son mari ce qui m'a permis de rencontrer cette jeune femme par la suite. Une jeune femme des plus agréables à vrai dire. Douce belle et sympathique. Rare, certainement. Ils forment un couple superbe et j'espère que cela durera longtemps. Je ne connais que peu leur fils même si je l'ai croisé une fois ou deux mais je suis certain que c'est un ado charmant. Avec ces parents là de toutes façons, difficile de faire autrement non ? »
patients
CHASSES CROISES
Maïa Svarowskaia •• « duchesse »
« Maïa est la défunte duchesse de St Petersburg et mère de deux enfants. C'etait une Boiarde extrémiste et si je sais que nos idées seront toujours opposées, je la respectais tout de même. Elle savait ce qu'elle voulait et s'y tenait, c'est important, même si je préférerais qu'il en soit autrement. Je l'ai suivie durant sa seconde grossesse et j'étais présente lorsque le pire est arrivé. Elle a abusé de ses forces et l'enfant est arrivé plus tôt que prévu. Un moment qui devait être magique s'est retrouvé tragique. Elle a laissé au Duc deux enfants que j'ai promis de suivre par la suite. Pauvre famille, à croire qu'ils sont maudits. »
Dernière édition par Vicky le Mer 11 Mai - 12:10, édité 1 fois
Vicky
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Sujet: Re: Ckyvi Francle Mar 10 Mai - 11:47
La Famille
Nascha Drucilla ARGUEDAS
Nascha, l’ainée. C’est vrai que nous sommes des triplées. Mais l’ordre dans lequel nous étions arrivées, même avec deux minutes d’écart, avait beaucoup d’importance pour les sœurs Arguedas. De même que j’étais la petite dernière, Nascha était sans nul doute la plus posée, la plus responsable mais aussi la plus timide. Ce n’était pas faute d’essayer de la pousser vers les gens, et ça avait porté ses fruits puisque aucun de ceux qui ne la connaissaient pas vraiment ne pouvaient se douter qu’elle préférait la solitude à la foule. Mais elle semblait quand même apprécier la compagnie de la bande alors c’était une bonne de l’avoir poussé avec Taï, pas vrai ? Elle devrait nous remercier un jour. Haha. Ma grande sœur a aussi une fâcheuse tendance à ne pas savoir dire non, et parfois y’en a qui en profite. Mais j’espère pour vous que vous ne le ferez pas sinon vous risquer de vous retrouver avec le nez cassé ou pétrifié dans les toilettes. Enfin ce n’est qu’un conseil. Toucher une Arguedas c’est s’en prendre aussi aux deux autres. Comme tout ce que l’on fait, c’est toujours à trois.
La cause perdue de la famille *out*. C’est vrai que je la tanne beaucoup avec ça, mais au fond, c’est parce que je m’inquiète et que je l’aime. Et j’espère qu’elle le sait. Mais bon à force j’ai fini par comprendre que ça ne servait à rien d’insister et je me contente d’un froncement de sourcil réprobateur et d’un œil bienveillant en fin de soirée. Ben oui, y’en faut bien une pour ramener toute la clique à la maison… Je ne changerais pas Taï et je n’en ais pas envie. Elle m’a ouvert les yeux sur beaucoup de choses que j’aurais loupées si elle n’était pas ma sœur. Comme savoir m’amuser et profiter de la vie, sans passer la mienne cachée derrière mes bouquins. On se chamaille beaucoup, elle adore me taquiner, mais que voulez vous, on est des sœurs ! A la vie à la mort, croix de bois croix de fer, si je mens je vais en enfer !
La Bande
Marwin Artiban BASKERVILLE
Yolihuani est une grande famille dont Marwin en est le bébé. Ouais bon, un grand bébé, beau, galant charmant mais surtout très timide. En fait, c’est un peu Nascha mais en version masculine ultra craquante qui fait tomber toutes les filles sur son passage. Alors que pour certains, avoir un charme fou serait une bénédiction, pour lui c’est plutôt l’inverse. Ca lui a apporté pas mal d’ennuis, de petits copains jaloux et de filles collantes en délire. Tout ça, ça réveillait un peu mon instinct maternel, et je ne pouvais m’empêcher de le protéger contre toutes ces viles attaques. Mais comme une maman doit aussi apprendre à son poussin à sortir du nid, j’essayais aussi de le pousser un peu plus vers les filles et je lui ais même présenté celle qui deviendrais alors son pire cauchemar, sans le savoir. Depuis son accident je m’en veux énormément. Le voir déprimer ainsi et se détruire à petits feux, lui qui autrefois m’aidait à réprimander les alcooliques, me fend le cœur et me culpabilise. Je sais qu’il est impossible de revenir en arrière mais à défaut, je tente de me rattraper en venant à son secours.
♦ 17 ans ♦ Quatrième année ♦ Yolihuani ♦ Ami & Frère de coeur
Nirvana Maiara DI STEFANO
♦ 18 ans ♦ Quatrième année ♦ Yolihuani ♦ Amie & Coloc’ de dortoir
Nirvana je la connais depuis pfiouuuu, au moins tout ça. Oui bon d’accord, c’est grâce à Taï (je préfère le mettre parce que sinon elle va gueuler uu). C’est l’une des rares qui doit supporter notre trio au grand complet, et rien que pour ça c’est forcément une fille bien ! Et si quelqu’un en doute, qu’il vienne me le dire en face, on va voir un peu. Parce que ouais, Nirvana elle est comme notre sœur. En plus on partage le même dortoir alors c’est dire. Comme toutes sœurs qui se respectent, on se pique nos fringues, on s’engueule, on se réconcilie, on fait des batailles de polochons et des soirées improvisées une guitare à la main. Enfin c’est elle qui a la guitare. Moi je me contente d’écouter, ou de danser à la limite. Passer à côté d’elle aurait été comme vivre sans un rayon de soleil, et croyez moi, ça manquerait.
Luis Angel MARTIN
Luis était mon partenaire de Quidditch idéal. Du temps de Yolihuani, nous formions un trio imbattable avec Diego. Mon intelligence combinée à son talent inné pour ce sport nous permettait d’élaborer des tactiques dignes des plus grandes équipes. Un regard, un signe et nous voilà gagnant du grand tournois de notre école. Imbattables, je vous dis. Mais tout à une fin, et à Elderwood, ils nous ont séparés dans trois équipes différentes. Je ne pouvais pas le croire, trop estomaquée de voir que celui qui était mon parfait coéquipier devenait mon rival. Cela ne nous empêche pas de continuer à nous entrainer ensemble, de courir côte à côte et de se charrier mutuellement. Ni l’un ni l’autre ne se fera de cadeaux sur le terrain, d’autant plus que je suis maintenant moi-même capitaine, mais la compétition est davantage un jeu qu’un duel sans merci. J’ai hâte de voir ce que donnera un vrai match, l’un contre l’autre, car nous nous connaissons tellement bien qu’il sera aisé de se contrer. Et même en dehors du terrain, il reste un ami que j’apprécie énormément, que j’aide un peu en cours et qui m’amuse en soirée.
♦ 17 ans ♦ Quatrième année ♦ Yolihuani ♦ Ami & Ex partenaire de Quidditch
Aphrodisias Opium BACKWOOD
♦ 19 ans ♦ Sixième année ♦ Nkiruka ♦ Amie
L’arrivée d’Opium et d’Heath au sein de la bande se fit tout naturellement… Bons vivants, joueurs, aventuriers, ils n’avaient peur de rien et surtout pas nous. Quand on y pense c’est déjà beaucoup ! Opium apporte toujours de nouvelles idées, de nouveaux défis, une petite touche de fraîcheur africaine dont nous étions dépourvus. Si les premiers temps j’étais assez mal à l’aise en sa présence, ne sachant trop comment me comporter en présence d’une femme qui… aime les femmes, le malaise est maintenant passé et j’adore discuter avec elle. Il m’est même d’avis que sous peu, j’aurais même besoin de ses conseils. Quand je pense qu’elle fait tourner la tête de tous les garçons, je trouve ça bien dommage… Mais dans le fond ça arrange bien Taïni… Si Opium ne faisait pas partie du groupe, je pense qu’il faudrait l’inventer.
Heathcliff Gregory STAMFORD
Heath fait partie de ces personnes que je ne serais peut-être jamais allées voir si je n’avais pas Taï et Nasch comme sœurs. Et c’est dans ces moments-là que je les remercie d’être là. C’est vrai, il boit beaucoup trop, il fume beaucoup trop, et il se drogue beaucoup trop… Mais quand on apprend à le connaître, on comprend pourquoi et même si je ne l’accepte pas forcément, je reste dans l’ombre pour le soutenir. Heath n’est pas du genre à se confier aisément, voir même pas du tout, mais il suffit de lire dans ses yeux pour savoir quand ça ne va. Il sait que qu’importe ce que je fais, qu’importe où je suis, il pourra toujours venir me trouver. J’aime être là pour lui, juste une présence à ses côtés sans forcément prendre la peine d’avoir à aligner trois mots. Que ce soit pour étudier en silence, lire un bouquin ou faire une sieste, c’est une autre facette d’Heath que je côtoie et qui me plaît le plus.
♦ 21 ans ♦ Huitième année ♦ Nkiruka ♦ Ami
Noah Holly CAVANAUGH
♦ 22 ans ♦ Huitième année ♦ Salem ♦ Amie
Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Je crois que Noah est la représentante parfaite de cette citation. La demoiselle est bien plus coriace qu’elle en a l’air et davantage encore sur un balai. Elle n’a pas la langue dans sa poche et n’a besoin de personne pour la défendre. De toute façon, s’en prendre à elle serait commettre un suicide indirect vu l’armée qui la protège uu. Noah s’avère être une sorcière brillante, de bons conseille et d’une grande aide. A la moindre incompréhension, c’est vers elle que je me tourne. Mais c’est aussi une sportive de talent qui démontre sa persévérance et son acharnement à travers le Quidditch. Je suis admirative devant son courage et suis très fière d’être son amie. Noah a un cœur en or, et qu’importe ce qui peut se dire sur elle, je sais qu’elle est plus forte que n’importe qui.
L'équipe de Quidditch
Whilemina Vesper STAMFORD
Wilh est mon soutien le plus important dans l’équipe. Je sais pouvoir toujours compter sur elle en cas d’imprévu ou de pépins. C’est d’ailleurs grâce à elle que j’en suis arrivée là aujourd’hui. Si elle ne m’avait pas poussée à postuler comme capitaine lorsque Sebastian est parti, je n’y serais jamais allé de moi-même. Mais elle a réussi à me convaincre et m’a même proposé son aide, que ce soit pour les cours ou en tant que co-capitaine. Rôle qu’elle rempli à la perfection. Toujours remplie de nouvelles idées, de nouvelles tactiques, on passe des heures à échanger nos différentes stratégies ou nos impressions sur tel match ou tel entrainement. Elle m’écoute patiemment râler contre mes coéquipiers et en particulier contre Nina. Je n’aurais pas pu rêver mieux comme Attrapeur, mais aussi et surtout comme amie.
♦ 18 ans ♦ Sixième année ♦ Nkiruka ♦ Attrapeur & Bras droit
J’aurais préféré savoir cette fille à des kilomètres de moi plutôt que dans mon équipe de Quidditch. J’ai vite compris que Nina souhaitait elle aussi s’illustrer sur le terrain et essayerait de prouver par tous les moyens qu’elle était la meilleure. Malheureusement pour elle, elle n’est pas tombée dans la bonne équipe… Dès lors, chaque entraînement était un nouveau combat entre nous, instaurant une compétition au sein même de l’équipe. Cela ne fit que s’accentuer lorsque le poste de capitaine se libéra. J’ai obtenu le rôle et Nina s’acharna à me faire comprendre qu’elle n’était pas du même avis que notre entraîneur. Je ne compte plus les coups bas qu’elle me fait subir pour me ridiculiser devant le reste de l’équipe. Cependant, et contre toute attente, à vouloir prouver au reste du monde que nous sommes les meilleures, nous formons des partenaires de Quidditch imbattables. Outre mon agacement personnel, je dois reconnaître que la poursuiveuse se défend plutôt bien sur le terrain et pour atteindre notre but commun, qui est de gagner, nous sommes bien obligées de mettre notre rivalité de côté une fois dans les airs.
Je ne le connaissais pas, du moins pas vraiment. Sa réputation de jeune homme mystérieux le précédait et ce n’est que plus tard que j’ai mis un visage sur ce nom. Plutôt bel homme, ce qui m’interpella davantage… Parmi la panoplie de rumeurs lancées à son propos, je n’en retenais qu’une : il cachait forcément quelque chose. Ma curiosité était piquée au vif et je le suivais silencieusement, parfois cachée sous ma forme animagus. Les premiers temps ne donnèrent aucun résultat, mais je finis par apprendre son secret quand je surpris une discussion. Je dois dire que c’est la dernière chose à laquelle je m’attendais… Un secret si lourd et si bien gardé, je n’en fis cas à personne, pas même à mes sœurs. Mais je voulais juste comprendre… Voir le monde à travers ses yeux. Quand je suis allée lui parler, je pensais qu’il me fuirait… Mais finalement, connaître son secret m’a permis de me rapprocher de lui encore plus et de découvrir que derrière cet homme mystérieux se cachait quelqu’un de gentil et sincère. J’aimerais pouvoir l’aider, seulement je ne sais pas comment…
♦ 18 ans ♦ Cinquième année ♦ Poudlard ♦ Ami
Eterna Ginger BASKERVILLE
Eterna, c’est avant tout la cousine de Marwin. La première fois que je l’ai croisée, je venais de voir Marwin à l’hôpital, les yeux embués de larmes et la poitrine serrée, rongée par la culpabilité. Je m’arrêtai à peine pour lui dire bonjour et traçai ma route. Je savais à quel point elle était proche de mon ami, il nous parlait souvent d’elle et du lien très fort qui les unissait. Ce qui augmentait mon malaise en sa présence… Je m’étais juré intérieurement de toujours protéger Marwin, et j’avais fini par échouer, le jetant moi-même dans la cage aux lions. Savoir qu’Eterna arrivait à Elderwood n’arrangea rien, d’autant plus qu’elle occupait le poste de bibliothécaire, l’endroit où j’aimais passer le plus clair de mon temps… Ce ne fut pas évident de l’éviter et de me cacher entre les rayons pour ne pas avoir à lui parler… Je n’y parvins que les premiers temps mais elle finit par venir engager la conversation. Gênée, je baisse les yeux à chacune de nos conversations et reste passablement évasive sur mes propos. Comment la regarder en face après ce que j’avais fait à Marwin ? Je suis certaine qu’elle m’en voudrait, et c’est ce que je souhaite éviter.
♦ 25 ans ♦ Bibliothécaire ♦ Ancienne Yolihuani ♦ Cousine de Marwin
Dernière édition par Vicky le Dim 12 Juin - 9:04, édité 7 fois
Vicky
Messages : 26 Date d'inscription : 23/02/2010
Sujet: Re: Ckyvi Francle Dim 15 Mai - 17:44
[15:00:52] Vicky: Ensuite, c'est à voir si Jezebel aime bien Miwi ou pas. A savoir que cette dernière a toujours beaucoup d'idée, est tacticienne, et motive toujours les troupes. Et cela même avant qu'elle soit capitaine. En gros elle est toujours excessive dans ce qu'elle fait et ça peut aussi déplaire. Si elle voit que quelqu'un est démotivée ou ne va pas bien, elle hésitera pas à aller le voir. Mais il est clair qu'elle pousse tout le monde à avoir le même vision qu'elle: à savoir, gagner. Donc Jezebel peut soit avoir encouragée Mihewi quand elle a décidé de devenir capitaine ou au contraire se dire "oh non elle va prendre la grosse et va plus nous lacher,déjà que c'était l'horreur". Enfin voilà, à toi de voiiiiir [15:05:01] Nyanya Gordon-Levitt: Alouuuurs. Jezebel n'est pas du genre à avoir des péjugés sur les gens. Fin, si Miwi s'est retrouvée capitaine, dans sa tête c'est qu'il y a une bonne raison pour ça. Donc pas de problèmes de ce côté-là (: Après, peut-être qu'au contraire, Jezebel aurait put aider Miwi à se faire "respecter". Parce que Jezebou en général elle fait peur aux gens donc ça peut aider o/. Un petit coup de pouce de son côté pour aider Miwi a avoir un bonne autorité et puis, elles seraient devenues bonnes amies peut-être avec une possible évolution en vue de ce que je prévoie pour Jez (: [15:07:10] Vicky: Et pour le côté "se faire respecter" je viens bien un coup de main pour mâter Nina qui essaye de me mettre des batons dans les roues [15:09:07] Nyanya Gordon-Levitt: Alors non pas de lien avec Mina. Sinon aucun problème pour Nina, je pense que ça ne doit pas être trop compliqué pour Jez d'empêcher quelqu'un de faire quelque chose... Non c'est vrai, avec trop de cloques, on peut plus jouer au Quid /SBAFF/ [15:11:14] Vicky: Bon on garde comme ça alors, même si Miwi fait peur aussi, une aide est toujours la bienvenuuuue x) Amie avec évolution EJ selon Jeze (Tu as attisé ma curiosité du coup, je veux voir ce qu'elle va devenir xD)
[15:52:42] Pow: peut être qu'il aurait une relation plus .. pas plus tendue genre mais plus comment dire .. reposante et un peu pudique avec miwi [15:55:53] Vicky: Hum voui je vois, ça peut être vraiment cool. Genre on cherche la compagnie l'un de l'autre juste pour l'autre. Enfin c'pas clair. Mais dans le sens pas forcément besoin de parler mais l'un et l'autre serait toujours là pour se soutenir et s'entraider. Se confier pourquoi pas, si tu vois si Heath le sens comme ça. Mais ils pourraient passer des moments seule à seul sans forcément se parler. [15:56:04] Vicky: Enfin je trouve que ce que je dis est pas clair xD [15:56:28] Vicky: Vicky va se remettre deux trois neuronnes en place, dont celui de l'expression et repassera plus tard [15:56:51] Pow: xDDDDD [15:57:16] Pow: non j'ai compris ouais sauf qu'Heath' est pas du genre às e confier à part à sa soeur Wilh' mais sinon oui, j'imagine bien chercher le calme auprès de miwi [15:57:26] Pow: ou genre faire ses devoirs avec elle parce que c'est plus tranquille ou quoi [15:59:05] Vicky: Ca ça peut tout à fait le faire. Mais ouais sans se confier forcément, rechercher le calme et si besoin le réconfort (miwi aura toujours les bras grand ouvert pour çaaaa) et pour les devoirs aucun soucis. En plus Miwi est studieuse et elle étudie la plupart du temps seule, soit à la bibli soit sous un arbre au dehooors
Vicky
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Sujet: Re: Ckyvi Francle Jeu 26 Mai - 14:01
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